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VISITE AUTO-GUIDÉE DE L’HÉRITAGE DES TULIPES | ARRET 1

Reconnaissance territoriale du peuple algonquin

Il y a plus de 8000 ans

Prenez un moment et regardez le sol sous vos pieds.

Regardez la terre dans laquelle poussent nos tulipes.

Considérez maintenant… cette terre a été volée.

Depuis plus de 8000 ans, cette terre a été la demeure du peuple algonquin anichinabé, avant l’arrivée des Européens en Amérique du Nord.

Carte de la visite à pied

L'histoire

Des preuves archéologiques laissent supposer que la vallée de l’Outaouais a été la demeure du peuple algonquin depuis 8 000 ans.

Bien avant l’arrivée des Européens, les Algonquins vivaient, chassaient, piégeaient, pêchaient, socialisaient et faisaient du commerce des deux côtés de la rivière des Outaouais et le long de ses affluents. 

C’était les voies navigables des Algonquins et leur territoire traditionnel sur lequel ils ont développé leur économie et dont ils dépendaient pour leur survie.

Le mode de vie des Algonquins était semi-nomade — ce qui signifiait voyager léger — et vivre modérément de la terre. Les canots d’écorce de bouleau étaient cousus avec des racines d’épinette et imperméabilisés avec de la résine et de la graisse d’ours. Les mères portaient leurs bébés sur leur dos dans des porte-bébés en bois et en cuir.

En hiver, les grands groupes se divisent en familles de petits campements de chasseurs, les raquettes et les toboggans devenant indispensables. Les conditions pouvaient être difficiles et le risque de famine était toujours présent.

Les vêtements étaient fabriqués à partir d’éléments naturels tels que des peaux d’animaux et d’oiseaux, des os, ainsi qu’avec du bois et des bandes d’écorce. Les abris tels que les wigwams étaient faits de bois, de bouleau et d’autres écorces. La connaissance de la culture algonquine était transmise par l’histoire orale.

Les Algonquins pratiquaient le Midewiwin (le bon chemin) et se croyaient entourés de nombreux « manitok », ou esprits du monde naturel.

Les communautés algonquines étaient égalitaires et fondées sur le clan. Les Aînés respectés se voyaient confier des rôles importants. Chaque nouvelle génération était envoyée à la recherche de partenaires en dehors de son clan.

Le commerce était extrêmement important. En fait, la rivière des Outaouais était (avant et après l’arrivée des Européens) l’un des plus grands corridors de commerce, de transport et de communication du continent, ce qui a eu un impact énorme sur le niveau de connexion et d’interaction des Algonquins avec les autres Premières Nations.

Les Algonquins font partie d’un groupe culturel plus vaste, les Anichinabés, tout comme les Odawa et les Ojibwa, avec lesquels ils sont étroitement liés.

(La langue algonquine, également connue sous le nom d’Omàmiwininìmowin, est aujourd’hui identifiée par 1 575 personnes comme leur langue maternelle).

L’arrivée des Européens a bouleversé le mode de vie des Algonquins considérablement. Les vieilles rivalités se sont transformées en guerres et de nouvelles maladies sévissent. Les populations ont été décimées, les communautés déplacées et les cultures compromises.

Les Français ont défendu leur revendication sur la « Nouvelle-France » — y compris la vallée de l’Outaouais — pendant près de deux siècles, avant de capituler devant les Britanniques. 

Après cette capitulation, les Britanniques ont fait une série de promesses qui a culminé avec la Proclamation royale de 1763 du roi George III, classant l’intérieur du continent comme une réserve autochtone et décrivant spécifiquement la manière dont tous les traités devraient être négociés avec les habitants autochtones. 

La proclamation royale de 1763 promettait que les populations autochtones « ne devraient pas être agressées ou dérangées » sur les territoires « qui ne nous ont pas été cédés ou que nous n’avons pas achetés » et que ces territoires « leur sont réservés […] comme terrains de chasse ».

La Proclamation allait devenir une pièce importante pour les futures revendications territoriales des Algonquins et sa pertinence a été jugée par la Cour suprême et est mentionnée dans le cadre constitutionnel de la Charte des droits et libertés du Canada de 1982.

La révolution américaine qui s’ensuivit et le déplacement des loyalistes allaient mettre à l’épreuve cet engagement royal. Les loyalistes (et plus tard les « loyalistes de dernière heure ») sont du jour au lendemain encouragés à remonter vers le nord. La Couronne commence à octroyer des terres en flagrante contradiction avec sa promesse antérieure de les réserver à perpétuité à leurs habitants autochtones traditionnels.

La menace qui pèse sur les droits fonciers des Algonquins s’accélère avec l’essor du lucratif commerce du bois. Les vastes forêts anciennes de la vallée de l’Outaouais ont été coupées, les voies navigables ont été mises en péril et les anciennes promesses ont été commodément bafouées. 

Les propriétés familiales, les colonies et les villes se développent à mesure que l’afflux de nouveaux arrivants se poursuit. Des canaux et des chemins de fer sont construits. Le mode de vie des Algonquins est considérablement transformé et leur économie est ébranlée.

La saisie des terres ancestrales n’a laissé aux communautés algonquines d’autre choix que de demander la création de réserves. Neuf réserves sont créées au Québec et une réserve (Pikwakanagan) est mise en place à Golden Lake, en Ontario. 

Au fil des ans, les Premières Nations de partout en Amérique du Nord ont été amenées à signer des traités pour céder leurs terres aux Européens (souvent à des conditions peu favorables). Les Algonquins, eux, n’ont jamais accepté un tel accord.

En conséquence, il est généralement admis que la vallée de l’Outaouais est effectivement la terre non cédée du peuple algonquin anichinabé — le reste d’entre nous n’étant au mieux que des invités du peuple algonquin, au pire des intrus.

Bien que la Proclamation royale de 1763 soit reconnue dans la constitution canadienne, la colonisation et l’utilisation des terres et des ressources algonquines se poursuivent aujourd’hui, malgré les protestations des Algonquins.

Selon le recensement de 2016, plus de 40 000 Canadiens s’identifient comme ayant des ancêtres algonquins.

En plus des réserves des Premières Nations, d’autres communautés algonquines sont réparties dans la grande région de la vallée de l’Outaouais, y compris dans la ville d’Ottawa.

Les mauvais traitements infligés par le Canada aux peuples autochtones ont perduré depuis la Confédération — la tragédie des pensionnats n’étant qu’un exemple parmi d’autres. 

De plus, bien qu’ils aient fièrement combattu aux côtés des Canadiens dans toutes les grandes guerres, les peuples autochtones n’ont obtenu le droit de vote que dans les années 1960.

Wendy Jocko, ancienne cheffe des Algonquins de la Première Nation de Pikwakanagan (à Golden Lake), nous rappelle que près de 2 millions de personnes au Canada s’identifient comme étant issues des Premières Nations. Il existe 634 Premières Nations au Canada, qui parlent plus de 50 langues différentes.

Wendy Jocko souligne que, pour les Algonquins, les griefs historiques remontent à une série de pétitions, de lettres et de discours remontant à 1772, et que tous ces éléments constituent aujourd’hui une occasion de réconciliation et de réparation par le biais de négociations modernes et d’accords d’autonomie gouvernementale.

Les avancements sont difficiles en raison des différends sur la question de savoir qui parle légitimement au nom du peuple algonquin et sur le chevauchement des revendications de certains qui prétendent parler au nom d’autres Premières Nations. De plus, là où il n’y avait qu’une rivière, il y a aujourd’hui une ligne de démarcation entre les provinces de l’Ontario et du Québec.

Après 8 000 ans d’histoire dans la vallée de l’Outaouais, la revendication territoriale des Algonquins sur cette terre, où tant d’entre nous ont construit leurs maisons et leurs communautés, est désormais grandement reconnue. La résolution finale de ce dilemme reste cependant extrêmement difficile à trouver.

 

Tulipes dans ces plates-bandes

« Mango Charm »

Voici la superbe tulipe « Mango Charm », un incontournable pour tout jardin et un complément parfait pour les bouquets de printemps. Avec son mélange enchanteur de teintes pêche, orange pâle et jaune-or, les fleurs de la tulipe « Mango Charm » fascinent par leur beauté inégalée. Réputée dans l’industrie de la fleur coupée, cette tulipe se distingue par ses couleurs vibrantes et sa durée de vie en vase remarquablement prolongée.

 


« Apricona »

L’Apricona, avec ses pétales délicats et doux de couleur rose-pêche, possède une qualité éthérée qui irradie de chaleur sous la douce étreinte des rayons dorés du printemps. Ses fleurs exsudent une luminosité captivante, comme si elles étaient illuminées par le soleil lui-même. Ce joyau à la floraison précoce apparaît comme un signe avant-coureur de la beauté de la saison, offrant un spectacle délicieux qui annonce l’arrivée du printemps. Malgré sa taille modeste, l’Apricona se distingue par son élégance et son charme. Avec sa nature compacte, atteignant seulement 12-14″ de hauteur, il s’avère être un ajout polyvalent à n’importe quel espace de jardin.

 


 « Daydream »

Cette plante à floraison précoce présente un charme unique, avec une transformation dynamique des fleurs jaunes ensoleillées qui évoluent vers des teintes orange abricotées lumineuses au fur et à mesure qu’elles mûrissent. Les fleurs résistantes, qui durent longtemps, s’ouvrent largement à mesure qu’elles mûrissent, capturant gracieusement la lumière du soleil entre leurs pétales. Résistante aux conditions climatiques défavorables et de nature vivace, cette plante ajoute une beauté durable à tout jardin.

 

 


« Orange Juice »

La tulipe « Orange Juice » est une tulipe triomphante attrayante aux teintes radieuses qui fleurit au milieu de la saison. Ses pétales orange robustes passent gracieusement à l’abricot sur les bords, créant une présentation captivante. Soutenue par un feuillage en forme d’épée sur une tige robuste, cette fleur distincte promet d’être un point focal proéminent dans le jardin de printemps.

 

 


« Ballerina »

La tulipe à fleurs de lys « Ballerina » s’est distinguée au cours de notre essai de tulipes 2021, qui comprenait plus de 150 variétés. Les fleurs au doux parfum présentent un délicieux mélange de mandarines avec des touches enchanteresses de rose et de magenta, surpassant la simple beauté frappante. « Ballerina’ fleurit plus tard que la plupart des tulipes, prolongeant sa présentation captivante pendant des semaines.

 

 


« Go-Go Red »

Même les jardiniers chevronnés auront besoin d’un second coup d’œil pour confirmer que « Go Go Red » est bien une tulipe ! Cette variété distinctive de lys présente des pétales recourbés, créant une apparence arachnéenne unique et excentrique. Les pétales rouge cerise sont complétés par une zone jaune vibrante.

 

 

 


« Prins Willem Alexander » 

En hommage au roi des Pays-Bas nouvellement couronné, cette tulipe arbore une teinte orange étonnamment radieux et brillante. Elle constitue un hommage floral parfait au monarque régnant. Sa popularité vient du fait qu’elle est une fusion des tulipes simples précoces et tardives, incarnant les meilleures caractéristiques de ces deux types de tulipes. Avec une hauteur moyenne, des tiges robustes, une gamme variée de couleurs et une croissance polyvalente adaptée aux parterres de jardin et aux jardinières, ces tulipes sont non seulement visuellement attrayantes, mais aussi idéales pour les compositions de fleurs coupées.

 

 


« Orange Balloon »

Le nom lui-même fournit une description claire. Ces fleurs sont particulièrement grandes et possèdent une forme ovale distincte. Elles sont colorées dans des tons d’orange et tendent vers le rouge.

 

 

 

 


« Amazing Parrott »

Le nom de la variété en dit long : la couleur de cette tulipe perroquet est vraiment extraordinaire. « Amazing Parrot » présente des fleurs dans des tons riches et profonds de corail et d’abricot, avec des pétales aux plumes fantaisistes qui ajoutent à son allure unique.

 

 


« Avignon Parrot »

Cette tulipe perroquet exceptionnellement grande attire vraiment l’attention. Avec ses pétales texturés d’un rouge profond ornés de marques marron et or, elle fleurit tardivement et continue sa floraison pendant une longue période. Il est intéressant de noter que le bourgeon conserve sa couleur verte jusqu’à ce que la tulipe commence à fleurir.

 

 

 

 


« Muvota »

Une tulipe gracieuse, élégante et élancée, qui présente une remarquable transformation de couleur. Lors de la floraison, elle révèle une teinte rouge vin profond avec un bord cuivré. Au fur et à mesure que les fleurs mûrissent, elles se transforment en une teinte rouge pourpre avec une délicieuse bordure rose. Son nom particulier vient du fait qu’un cultivateur l’a découverte comme une mutation de la tulipe « Gavota ».

 

 


« Slawa »

Rayonnant de personnalité et de couleurs vibrantes lors de leur apparition au printemps, ces beautés dorées sont vraiment captivantes. « Slawa » présente une palette de couleurs distinctes et exquises, avec des fleurs luxuriantes rouge bordeaux avec un bord orange vif et des flammes spectaculaires presque noires qui s’élèvent vers le ciel.

 


 

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Dow's Lake Pavilion Roundabout
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Weekends 10:00 am - 4:00 pm


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